REVIEWS

https://uddu.bandcamp.com/album/hellcats



RÖCK HAMMERED :

Pour ceux qui limitent le punk rock français à Guerilla Poubelle et aux Burning Heads, il serait bon de jeter une oreille sur UDDU.

Avec leur premier album, les montpelliérains proposent un punk rock vraiment chiadé.
On y retrouve aussi bien des influences californiennes pour la mélodie, que garage pour le côté incisif.
Il est bien loin le temps du punk à deux accords vomis par des mecs qui ne savent pas jouer. Ici, les gars maîtrisent, et se payent même le luxe d'intégrer des solos de gratte, ce qui donne un côté hardrock à leur musique. Certains riffs rappelleraient même Mötley Crüe voire Mötorhead.

La production impeccable n'y est sous doute pas pour rien, et permet vraiment à la musique d'être directe et puissante. Chaque instrument à la place pour s'exprimer, y compris la batterie claquante et la basse vrombissante.
Les morceaux de l’album s'enchainent à la perfection et ne laisse la place à aucun temps mort, si l'on oublie le morceau "S von M" qui permet de reprendre son souffle à mi-pacours.

Avec "Hellcats", UDDU démontre que la France a vraiment une très bonne scène punk rock.

Zorn Δ Röck Hammered

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NAWAK POSSE :

Formé en 2013, ce groupe regroupe différents membres de la scène punk héraultaise comme DESTROY BUSTER, DUST IN VEGAS, HARRIS MATRIX, GRANDIZER ou encore CAPTAIN STARK et avec un patronyme pareil comme nom de groupe, ne croyez pas que les UDDU jouent du Rockabilly ou du psycho, on a bien affaire à un groupe de Punk'n'Roll voir de Hardcore'n'Roll, quelque part entre ZEKE et THE (INTERNATIONAL) NOISE CONSPIRACY si vous voyez ce que je veux dire.

Au programme donc, des guitares grasses, un feeling bien rock'n'roll, un goût très prononcé pour l'improvisation punk et beaucoup de punch propre hardcore pour enrober le tout au travers de 11 uppercuts bourrés de TNT envoyés en pleine mâchoire par le groupe.
La voix m'a beaucoup fait penser à celle du chanteur de JANE'S ADDICTION sonnant très 90's dans l'esprit.

En tous les cas, les UDDU jouent vite et des morceaux tels que " As fast as we care " ou le très hardcore " Tinkerbelly " font le TAF (du nom de l'asso montpelliéraine " Tout A Fond " dont ils sont proches).

Wil  Δ Nawak Posse

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LES RÊVERIES :

J’ai commencé l’écoute en confondant le nom du groupe avec celui de l’album, me disant qu’Hellcats ça sonnait trop Hellcat records voire trop Hellbats et même trop Helltons… Alors qu’UDDU ça ne sonne finalement pas si mal que ça même si ça reste obscure comme nom. Toujours est-il que le groupe vient de Montpellier et s’est formé en 2013, Hellcats est leur premier album, et on retrouve dans le groupe des membres de Destroy Buster, Dust In Vegas ou Grandizer.

Derrière la pochette façon affiche cinéma où il faut avoir l’œil pour repérer le nom du groupe se cachent 11 titres de punkrock assez homogènes.

Passée la petite intro, tout du moins la première minute qui fait peur concernant la qualité du son, les choses sérieuses commencent avec un punkrock très énergique qui envoie un mur de guitares qui n’est pas sans me rappeler des groupes mélangeant punk et rock tels Zeke ou Turbonegro. J’aime bien l’énergie dégagée et ce gros esprit rock ‘n’roll qui me rappelle un peu aussi les rennais de The Elektrocution notamment sur le titre phare Hellcats. Si l’on omet la pause S von M qui a certainement une signification particulière pour le groupe mais qui reste obscure pour nous, jamais durant l’album le groupe ne ralentit laissant entrevoir un album directement taillé pour être efficace sur scène avec des morceaux comme Precious Dead qui joue de la six cordes à fond, As FAst As We Care qui porte bien son titre ou bien Shit Again un titre teigneux et hargneux.

Uddu est donc une jolie découverte, un groupe simple qui semble prendre du plaisir à jouer un punk très rock, très garage aussi. On les suivra donc avec attention que ce soit lors d’une future tournée ou des prochaines productions.

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NAWAKULTURE :

On avait casé UDDU dans le collimateur après un concert en première partie des géniaux HARD-ONS

qui nous avait bien botté même si le répertoire témoignait parfois de choses bien trop diamétralement différentes pour être homogène comme il se doit 1. Lao-Tseu l’avait dit suffisamment de fois : « il faut trouver la voie » et ô joie, UDDU a emprunté l’itinéraire jouissif d’un punk garage rock mâtiné de hard'n'roll, voire le contraire, un truc que de rares explorateurs soniques osent encore tenter, TURBONEGRO, HELLACOPTERS, NASHVILLE PUSSY ou DANKO JONES en tête.

Si le groupe est somme toute assez jeune (sa formation date de 2013), il est composé de chats de l’Enfer ayant précédemment fricoté sans vergogne avec une ribambelle de groupes (DUST IN VEGAS 2, DESTROY BUSTER, CAPTAIN STARK 3 entre autres) et ceux-ci ont concocté un album trépidant dont les riffs, rythmes et rimes entraîneront l’auditeur dans une sarabande (oui, en un seul mot !) infernale où le headbanging sera le maître-mot. Bien sûr, on ne demande maintenant qu’à revoir le groupe fouler les planches au plus vite afin de vérifier leur nouveau set et opiner du chef.

D’ailleurs, signalons au passage que les organisateurs sont invités à entrer en contact avec ces messieurs, vu que ceux-ci se déclarent chauds pour en découdre direct là comme ça. Hard punk as fuck ! [On vous raconte même pas la gueule mortelle du vinyle, on en reparle bientôt même si, gentil, on vous gratifie tout de même du visuel ci-dessous]

1 voir THE HARD-ONS [Aus] + SUPREMATIC [Fra] + UDDU [Fra] à Saint-Jean-de-Védas, Secret Place le 24/09/14.
2 voir DUST IN VEGAS [Fra] Care 'till dusk (Autoprod) 2015.
3 voir CAPTAIN STARK [Fra] S/t (Autoprod / Nosedungs Recs) 2008 et CAPTAIN STARK [Fra] Anticrust Superstark (Nosedungs Recs) 2010.

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FRENCH METAL

Tout droit venu de Montpellier, Uddu compte parmi ses rangs des membres de Destroy Buster, Captain Stark, Dust In Vegas et Harris Matrix. Habitués à jouer du punk hardcore, les quatre comparses se sont orientés vers le hard rock et le garage. Les vieilles habitudes ayant la vie dure, le groupe a réussi à incorporer dans sa musique l'urgence et l'énergie de leurs formations d'antan tout en proposant des titres efficaces, taillés pour la scène. Le 7 Octobre 2016 sort "Hellcats", le premier album, qui confirme que les gaziers font ce qu'ils veulent : jouer du hard punk.

La chronique

Vous savez ce que c’est que le hard punk ? Et bah moi non plus. Du coup, quand on me demandera ce que c’est, désormais, je dirai que c’est "comme Uddu", voilà. Réponse simple, pas forcément efficace, mais bon. Voici donc Uddu, groupe de hard punk formé à Montpellier en 2013, avec des membres de Destroy Buster, Dust In Vegas, Harris Matrix, Grandizer ou encore Captain Stark. Après une période plus punk hardcore, le groupe a décidé de mélanger garage et hard rock (ça résume assez bien je trouve) : "de l’énergie brute, des riffs acérés et des morceaux gravés dans un coin de la tête".

Sinon, quand on s’attaque d’un peu plus près à la bête, c’est vrai qu’on est assez loin de ce punk bête et méchant que j’apprécie tant, mais ça a le mérite de changer un peu. Les sonorités font très années 80 / 90, on sent une pointe de rock’n’roll d’antan, c’est franchement pas dégueux. Lors des premières écoutes, je trouvais que ça manquait sévèrement de basse, ce qui pour moi relève du crime impardonnable lorsqu’il s’agit de punk pur et dur, mais là ça va, on s’y fait, vu que les riffs tendent plus vers le rock, ça bouge bien et tant mieux. La seule ombre au tableau reste peut-être que la voix peine parfois à ressortir sous cette déferlante d’instru. Heureusement, ce n’est pas toujours le cas, mais j’ai clairement préféré les pistes où la voix, pas forcément omniprésente, réussit à s’élever au-dessus du reste ("My Tinkerbelly".

Bref, une jolie découverte, qui s’adresse tant aux fans de punk que de rock, voire des nostalgiques du bon vieux hard rock qui aimeraient constater qu’on peut revisiter ça à notre époque sans pour autant souiller l’âme des anciens.

Goreghugros Δ French Metal

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EKLEKTIK

Avec sa cover digne d’un film de super-héros (ou plutôt de super-vilains), UDDU semble apprécier l’univers des comics et met en musique tout ça sur fond de punk’n roll à l’énergie communicative ! Originaire de Montpellier et comprenant en ses rangs des membres de Destroy Buster, Dust In Vegas ou encore Harris Matrix, UDDU livre ici onze titres sans prise de tête fleurant bon les concerts explosifs !

La recette est classique mais l’interprétation sans faille ! Fort de l’expérience de ses membres dans leurs autres groupes, UDDU maîtrise son « rawk & rawl » (titre bien trouvé de son premier EP) grâce à des compos à la féroce efficacité. De « Partner »  à l’éponyme « UDDU » (jamais compris pourquoi certains groupes donnent leur propre nom à un de leurs morceaux) en passant par le survolté « Hellcats » (qui contient même un peu d’harmonica), le groupe montpelliérain ne débande pas d’un iota (sauf pendant l’interlude « S Von M »), proposant des riffs (au feeling souvent garage) très entraînants par wagons, des soli à foison, des lignes de chant aussi énergiques que la rythmique (parfois secondées de chœurs toujours fort à propos), bref le cocktail ne réinvente rien mais détonne un maximum !

Amateurs de Zeke et autres joyeusetés où le rock’n roll se veut authentique et puissant, jetez-vous sur ce « Hellcats » nous présentant un groupe fort sympathique dont les seules préoccupations semblent être de jouer pour prendre son pied et faire transpirer le pit. A vérifier en live près de chez vous !

Beunz Δ Eklektik

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CAFZIC #72 :

Le visu m'a fait ouvrir grand les yeux, plus un truc de film, façon super héros guerriers, sur une pochette de disque je n'arrivais pas à l'imaginer.

Uddu c'est un groupe " tempête", mix ultra énergique de punk rock, de rock'n'roll au caractère fort et à l'odeur de transpiration prenante. Bref du houblon et des plumes, de l'électricité façon décharge, des paures à 150 km/h, des accélérations à 200 et des pointes de vitesse en sortant des virages parce que se laisser doubler ça peut être vexant !
"Partner", "Precious dead", "Too much love" étaient les premiers à me percuter comme je l'aime. Au beau milieu du disque une partie " sommeil" apaisante et brusquement bingo on repart, dans ta face, tout riffs dehors, sont toujours aussi excellents. " Shit again", ça sent la machine infernale, le ronflement d'ogre, " As fast as we care" enfonce le clou, l'un des meilleurs, ça claque, ça invective, ça peste, ça maudit."Bully to me" et "Uddu" me confirment ensuite ce petit rictus sournois de plaisir rock'n'roll qui se réjouit de voir autant d'énergie, de combattants percutés et d'ennemis ratatinés.

Une vraie boule de feu.

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ROCK YOUR UNDERGROUND :

Hello à tous !
Aujourd’hui, je vais vous parler d'un groupe de Punk /Garage old school  formé en 2013  à Montpellier et ouai, il y a vraiment de bons groupes par là-bas !! J’ai nommé UDDU avec leur nouvel album Hellcats !! Teinté de bons vieux riffs Rock and Roll avec une touche de Stooges, A découvrir absolument !!!!

Enfiler vos Docs, c'est parti !!
On ouvre cet album avec:
Partner : Intro surprenante, on se dit tout de suite "mais c'est quoi ce son de merde??, pfff c'est enregistré dans le salon !! " Mais non !! Pas du tout  !! Conseil ne montez pas le son ou bien vous allez vous arracher la tête !! D'ailleurs très bon son les gars ! Bien Garage, le titre nous fait bien sauter en l'air  !!
Hellcats : Titre Punk avec la touche Offspring au chant, et une touche Ramones, vraiment bon refrain et très bien joué ! L’harmonica et la guitare slide  sont vraiment cool !
Too Much Love (Trop D'amour !!! ouuuhh!) : Riff de gratte qui nous fait bouger nos petites fesses molles, bien Rock and Roll !
Precious Dead / Fucking Aware : 2 titres bien Rock and Roll, le second a des touches de Bad Religions aux niveaux des grattes!! Bon, on dance toujours quoi !!
S Von M : Petite plage de douceur, très jolie !
Shit Again / As Fast as we Care : Et ça repart avec deux titres bien énergiques Punk Old School !
Bully To Me : Titre très bien interprété avec une couleur At the Drive In ! Très efficace!
Tinkerbelly : Dans la lignée du précédant ce titre marche très bien !
Uddu: On referme cet album avec le titre éponyme du groupe, très bon choix et très bien condensé, de toutes les influences entre les Bad  Religions, ATDI, les Stooges ! Bref un condensé d'énergies  positives !

UDDU, vous avez fait là ? Un très bon album, les titres sont cohérents bien exécutés, la real est bonne et la prod aussi, le choix du studio a était judicieux car le son de l'album s'en ressent ! Un sans-faute pour un album de qualité ! Congrat !
Alors écoutez-moi bien vous mes amis Punks, vous qui écoutez inlassablement vos vieux albums "Never Mind the Bollocks " les Stooges  ou pour les plus récents At the drive in (même si ça date maintenant) et bien il faut absolument vos procurez cet opus "HELLCATS" qui ravira vos petites oreilles crasseuses car oui il y a encore des groupes qui savent le faire et qui en plus le font super bien (et en plus Français) !!
Parole de scout !!

Ne me remerciez pas mes chers compatriotes car je sais à quel point  la torture auditive que vous subissez chaque jours en allumant votre TV est grande et insoutenable ! Mais je suis là pour ça !
Sur ce, gloire à l'indé et à l'underground... Que le rock soit avec vous mes amis!


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WALLABIRZINE :

Tout droit venu de Montpellier City South, UDDU compte parmi ses rangs des membres du Punk HxC de Destroy Buster, Captain Stark, Dust In Vegas et Harris Matrix.
Alors pourquoi former à 4 un groupe de Hard-räwk-gArage en 2016 ?

Non pas pour passer le temps, mais pour pousser l'urgence à son extrême limite. Car à force de prendre un malin plaisir à jouer avec des objets contondants, on finit par sortir un album taillé pour la scène, munit de titres explosifs et à cran, sur le label « Coups de Couteau », histoire de finaliser cet album à lame sonique.

Le résultat est tranchant, tronchant, et forcément ça torche !

Surtout avec un titre comme « fucking aware » en rendre fou le belge Jean-claude, avec son final qui découenne un psyché spirit américouain. Un « Too Much Love » et son mood too drunk to fuck des Dead K, raclant dans le tiroir oldschool avec sa camisole de force endiablée. Un « Precious » et son incandescence à manier un shoegaze en plein garage rock-hot hot Energy, que les punk appellent squat à Stooges. Un « Hellcats » somme tout prétexte à tabasser et qui fera aboyer tous les chiens de l'enfer qui sont tombés dans le bouillon du rock'n'rawl. Et puis « partner » qui demeure le style de morceau qui prouve qu'il ne faut jamais, Ô grand jamais, donner des allumettes à des jeunes avec des guitares, vous pouvez être certain que dans la seconde qui suit ils vont vous flamber la baraque avec un hard-punk'n'roll qui suinte l'essence sonique par tous les pores mélodiques, et qui plus est, avec des solos qui vomissent la vidange du punk.

De plus le son de l'album est maousse costaud, et naaaaan perdu loser, le groupe n'a pas enregistré la rythmique dans les combles, et les parties de chant dans les chiottes. C'est nickel, tranchant, tronchant, et ça torche !

Ce « Hellcats » a bénéficié d'une sollicitation participative pour exister, il n'en tient qu'à vous désormais de lui donner la pérennité de transformer votre cerveau en combustible, car il va à fond de cale pour booster le rAwk'n'rAwl-nëwschOol !

Bir Δ Wallabirzine

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LE PETIT AGENDA :

Le Hard Punk signé UDDU : Un don D'ubiquité !

Crac, c'est fait, le premier album des UDDU est sorti !
Onze titres mouvementés au programme et un style en incursion dans différentes contrées (principalement hard, punk et garage) jumelées dans un creuset bouillant au son puissant qui n'attend que l'interprétation sur scène pour prendre l'ampleur adéquate.

Pour avoir vu UDDU live, on ne se fait pas de soucis. Ces messieurs faisant de plus preuve de goût, ils ont choisi, conjointement avec le label Coups de couteau, de faire fabriquer une version vinyle mortelle.
Cette couverture tout feu tout flamme entre teen movie et post-apocalypse (qui a dit  "Souviens-toi l'été dernier sur la Planète Terreur avec Machete" ?) méritait forcément le format généreux des 30 centimètres. Et voilà qu'en plus sont aussi inclus dans la pochette un chouette autocollant pour le pare-brise de la 205 et un insert contenant les textes. Tu voudrais pas non plus un vinyle en couleur non ?! Ben ça tombe bien puisque c'est aussi le cas pour ce disque death-y-dément réussi de quelque côté qu'on l'aborde. Argh !

Guillaume "GED" Dumazer

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SYSTEME FAILURE :

La band francese Hard-Punk/Garage dal nome UDDU, band influenzata dalla musica hard-rock degli anni 80 del secolo scoros, ha pubblicato pochi giorni fa il suo debut album intitolato Hellcats con la label Coup de Couteau, album che si può trovare su piattaforme come iTunes, Deezer e Spotify. L’album è anche in streaming e Free Download su Bandcamp.

Questa formazione è per gli amanti di band come Peter Pan Speedrock, The Hellacopters, Turbonegro come apprendiamo dal comunicato stampa giunto a System failure.

Ascoltando Hellcats, oltre all’anima punk della band, scorgiamo influenze hard rock e anche lievi influenze alternative metal. Infatti questa band ci fa pensare a Velvet Revolver per certi versi. Altre band a cui ci viene da pensare sono NOFX e Rancid.

Il sound di UDDU è energico e frizzante oltre che furioso ed impetuoso. Le loro canzoni ci scaraventano al muro e ci emozionano tanto. Questa band dal sound pimpante ci ha colpito particolarmente con le sue scorribande sonore che trasmettono tanta passione.

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UNDERDOGS :

UDDU haben sich 2013 zusammengefunden und veröffentlichen nach ihrer EP "Rawk & Rawl" (2013) mit "Hellcats" ihr Debütalbum. Das knallbunte martialische Gang-Style-Cover könnte auch ein Motiv eines neuen Anti-Helden-Super-Schurken-Movies sein.

Hierzu haben sie die "Hellcats" konzipiert und ihnen einen eigenen Soundtrack komponiert, der Blues, Punk und Rock and Roll verknüpft, dabei mehr Gewicht auf einen dirty Stil legt, den die Gitarrenriffs laut und deutlich transportieren, inklusive Solo, Rückkopplungen und Bad Ass-Feeling.

Das Konzept aus Unterhaltung, Show und Gepose haben UDDU nach Außen wirksam umgesetzt. Die Verpackung ist reizvoll und verführerisch. Inhaltlich bieten UDDU dann gut zubereitete Kost nach bewährtem Rezept und verzichten meist auf eine schonende Zubereitung.

"Hellcats" ist kein lauwarmes Süppchen, sondern bietet trotz der traditionellen Zutatenliste ein schmackhaftes, nahrhaftes Gericht.